🧭 Tèrra Aventura 7 : A caverne, hop ! Hop ! Hop
- Charente Périgord
- 28 juil. 2019
- 4 min de lecture
Dernière mise à jour : 7 janv. 2020

Mettez en route la musique juste ci-dessous pour vous mettre dans l'ambiance de notre aventure Tèrra Aventura

Géographie :
L'altitude moyenne de Saint-Loubès est de 20 mètres environ. Sa superficie est de 25.07 km². Sa latitude est de 44.917 degrés Nord et sa longitude de 0.43 degrés Ouest. Les villes et villages proches de Saint-Loubès sont : Saint-Sulpice-et-Cameyrac (33450) à 3.32 km, Sainte-Eulalie (33560) à 3.45 km, Montussan (33450) à 4.02 km, Asques (33240) à 4.02 km, Ambarès-et-Lagrave (33440) à 4.55 km.
Cliquez sur la boussole pour voir la feuille de route
Pour notre septième parcours, nous nous rendons à Saint-Loubès, en Gironde, cette fois, afin de vivre l'aventure découverte "A caverne, hop ! Hop ! Hop !".
Nous sommes donc dans cette ville dans le but de vivre l'aventure "Tèrra Aventura".
Ici, nous devons découvrir le trésor sur le parcours "A caverne, hop ! Hop ! Hop !" pour trouver le Poï'z "Zisséo".
De nouvelles énigmes, au fur et à mesure, sont à élucider pour passer aux étapes suivantes et ainsi arriver au but ultime, la dernière étape, celle de découvrir la cache secrète pour avoir notre Poï'z. Sous une pluie battante, nous avons terminé ce petit parcours plein d'histoire.
En photo, le Saint Graal dans un coffre au trésor : une cache assurément bien camouflée et très agréable ! Encore une fois, une nouvelle mission réussie !
Cliquez sur le parchemin pour en savoir plus sur Saint-Loubès


Saint-Loubès est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
La commune de Saint-Loubès se situe dans l'Entre-deux-Mers, sur la rive gauche (sud) de la Dordogne, à 18 km au nord-est de Bordeaux, chef-lieu du département et d'arrondissement, à 7,5 km au nord-est de Carbon-Blanc. Elle est bordée à l'est par la Laurence, un ruisseau affluent de la Dordogne.
La commune fait partie de l'aire urbaine de Bordeaux et de son unité urbaine.
Les communes limitrophes en sont, sur la rive gauche de la Dordogne, Izon à l'ouest, Saint-Sulpice-et-Cameyrac au sud-est, Montussan au sud-sud-est, Yvrac au sud-sud-ouest, Sainte-Eulalie au sud-ouest, Ambarès-et-Lagrave à l'ouest et Saint-Vincent-de-Paul au nord-ouest ; sur la rive droite, se trouvent d'ouest en est, Cubzac-les-Ponts à l'extrême nord-ouest, en quadripoint (point de la surface de la Terre où quatre frontières différentes se rejoignent), Saint-Romain-la-Virvée au nord-nord-ouest, Asques au nord, à nouveau Saint-Romain-la-Virvée au nord-nord-est, cette commune enserrant celle d'Asques le long de la Dordogne et Lugon-et-l'Île-du-Carnay à l'extrême nord-est.

Histoire :
La commune de Saint-Loubès a une histoire ancienne. On estime que l’origine de son nom remonte au VIème siècle, d’après le nom de l’évêque de Troyes de l’époque, Saint-Loup. Ce nom a évolué et connu différentes formes au cours de l’histoire, puisque les textes anciens mentionnent Santus-Lupus, Saint Pierre de Loubez, Sainct Loubez, etc…
L’existence du bourg à son emplacement actuel est certaine dès le XIème siècle. Il est dans des textes de 1097 fait mention de deux églises pour Saint-Loubès : l’église de Saint Pierre et et l’église Saint Loup, respectivement aux emplacements de l’église actuelle et de la chapelle du Prieuré.
La commune compte aussi quelques villages et lieux-dits à l’histoire ancienne, comme le hameau du Truch, premier site connu d’occupation humaine du secteur.
L’époque moderne, du XVIème au XVIIIème siècles, voit la construction de plusieurs maisons nobles : Château de Reignac au Truch, maison noble de Labatut dite château de Terrefort, , Rafette, Chevillette, Lamothe, Malleret ou Toignan.

Patrimoine historique :
Ancienne possession de l’abbaye de la Sauve Majeure, elle fut édifiée vers le milieu du XIIIème siècle sous l’autorité de l’abbé Bertrand de Saint-Loubès. Elle perd sa vocation religieuse en 1789. Elle est inscrite, avec le sol archéologique attenant, à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 7 octobre 1992. Depuis 1996, c’est un centre d’activité artistique (expositions, concerts).

Après la création en 1740 de la route royale traversant le village en direction de Libourne, la construction d’une halle en 1779 inspire l’aménagement d’une place de type médiéval « à couverts ». Baptisée successivement Place Royale, de la République, de la Halle ou des Arceaux, celle-ci n’a pratiquement pas connu de modification à l’exception de la restauration de 1853.

Une église romane occupe à l’origine un site fortifié isolé du village par des fossés (d’où l’existence d’une « Impasse des douves »). L’existence d’une église à cet emplacement est attestée depuis le XIème siècle. Remaniée entre les XVème et XVIIème siècles, elle est détruite en 1855 pour permettre la construction d’une nouvelle église, achevée en 1869. Elle est ouverte tous les jours de 9h à 18h30



Personnalités de Saint-Loubès :
Max Linder

De son vrai nom Gabriel Leuvielle, il naît à Saint-Loubès en 1883 et décède à Paris en 1925. Acteur et cinéaste français, il commence à tourner en 1905 dans le cadre d’un comique d’un genre nouveau, à la naissance du burlesque, qui influencera Chaplin lorsqu’il créera à son tour son personnage, Charlot. Mais à l’inverse de ce dernier, Max Linder apparaît à l’écran sous l’aspect d’un jeune homme élégant, son comique naissant du détail juste, pittoresque et humain. Il écrit, réalise et joue dans des dizaines de courts et longs métrages, par exemple, Max pédicure, max collectionneur de chaussures, Le petit café, Sept ans de malheur, Au secours !, Le roi du cirque. Le collège de Saint-Loubès porte son nom, ainsi que le lycée de Libourne.
Paul-Jean Toulet

Paul-Jean Toulet, écrivain et poète français né à Pau (Basses-Pyrénées) en 1867 et mort à Guéthary (Pyrénées Atlantique) en 1920, est célèbre par ses Contrerimes, une forme poétique qu’il a créée. La contrerime est un quatrain combinant rimes embrassées et structure métrique croisée (généralement hexasyllabe et octosyllabe), ce qui donne au poème une impression de déséquilibre systématique Paul-Jean Toulet réside à Saint-Loubès quelques temps chez sa soeur à partir de 1912. Une des écoles élémentaires de la commune porte son nom. Il est enterré à Guéthary, mais un cénotaphe lui est dédié dans notre cimetière.
Komentarze